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 Presse

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Elodie
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MessageSujet: Presse   Presse Icon_minitimeMar 1 Jan - 4:57

Si vous avez croisé Ours au détour d'une revue ou journal...
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Const13
Pour la réintégration des Ours en France !
Const13


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MessageSujet: Re: Presse   Presse Icon_minitimeMar 1 Jan - 23:45

Un petit article trouvé sur la toile Very Happy

Citation :
A l’heure des lolitas et autres bébés-stars, on peut dire qu’il a pris le temps... Ours, auteur-compositeur-interprète de 28 ans, sort son premier album "Mi" le 10 avril prochain. Affiliés à la branche tendre et légère de la grande famille de la chanson française, ses treize titres révèlent un artiste touchant et laissent entrevoir derrière lui le garçon au regard rêveur et insouciant qu’il est encore aujourd’hui.


Ma première question concerne ton nom de scène : pourquoi « Ours » ?

Pour aider à leur réintroduction en France (rires) ! Plus sérieusement, j’ai fait un jour la comparaison entre un ours et un auteur parce que son travail d’écriture se fait seul dans sa chambre, recroquevillé sur lui-même, isolé du monde. Il y reste jusqu’au jour où il décide de mettre tout ce travail sur un disque, de le montrer aux gens et de s’ouvrir. De la même manière, un ours hiberne puis sort de sa tanière, va au contact de la nature et des choses de la vie le printemps venu.


As-tu d’autres traits caractéristiques de l’ours ?

Oui, j’ai déjà été assez « ours ». Pendant toute une période, je me suis posé des questions, je restais avachi sur le canapé. A un moment donné, j’ai eu envie d’être secoué.


Tu ne concevais pas l’écriture autrement qu’en solitaire ?

Je ne l’ai pas décidé ainsi, c’est sorti comme ça. Personne ne peut m’aider à retranscrire mes émotions. Il n’y a que moi qui aie cette vision des états d’âme que je souhaite retranscrire ; un autre artiste en aura une différente. Par contre, pour les musiques, deux morceaux ont été composés avec une autre personne.


Quelles sont tes influences musicales ?

J’adore Stevie Wonder, Bill Withers, les Beatles. J’écoute aussi des choses plus modernes comme Timbaland ou les Neptunes. J’aime la musique en général ! D’ailleurs, à la base c’est le rap français qui m’a donné envie d’écrire…


Qu’est ce qui t’a attiré dans le rap ?

C’est une musique accessible : un style direct où je comprenais tout, et parfois des textes touchants, comme ceux d’Akhenaton ou d’Oxmo Puccino. Je me suis mis à l’écriture après avoir écouté ça. Je faisais des rimes pour m’amuser et j’ai vite commencé à adorer écrire. Par la suite, je me suis mis à Mathieu Boogaerts, Francis Cabrel, Brassens…


Avant d’arriver à la musique, tu as débuté dans le graphisme…

Oui. Mon école d’art m’a appris à creuser mon propre univers, à ne pas faire comme les autres. Lorsqu’on rendait un travail, les brouillons et toute la démarche préalable étaient notés. J’ai gardé cette démarche. En enregistrant l’album, je voulais garder beaucoup d’éléments des maquettes parce qu’ils me ressemblaient. Je ne voulais pas lisser les choses. Ce côté brut et animal me plait.


Ton parcours sinueux et atypique a-t-il finalement été un plus ?

Je pense. Aujourd’hui, je n’écris plus du tout la même chose qu’il y a cinq ans. Je suis à un âge où l’on change beaucoup. J’ai l’impression d’être maintenant plus mûr et plus juste.


Ton album parle beaucoup d’enfance. Quelle a été la tienne ?

Elle a été très heureuse. J’ai grandi au sein de ma famille, dans une atmosphère de fantaisie, d’humour et de légèreté.


Un âge d’or auquel tu aurais voulu rester ?

Oui, évidemment. C’est banal à dire mais oui, j’aime l’insouciance de l’enfant, sa pureté…


Penses-tu qu’on perde un jour notre part d’enfance ?

En tous cas, je sais que je n’en suis pas encore sorti. Je m’accroche à cette enfance. Notre part de rêve, de poésie, a été construite à ce moment-là de notre vie. Si je veux passer un bon moment devant un film, je regarde Rabbi Jacob. Et ce n’est pas pour son scénario, c’est parce que c’est toute mon enfance !


Cette nostalgie de l’enfance n’est-elle pas un phénomène générationnel, récent, peut-être lié à la société et au monde actuels ?

Je ne sais pas. C’est peut-être en effet plus fort depuis 30, 40 ans.


Dans la chanson On essaie d’imaginer , tu dis que « tout ça nous dépasse ». Alors, d’où te vient l’inspiration ?

Elle vient du quotidien, des gens autour de moi. Les jeunes me touchent. Lorsque l’on a entre 20 et 26 ans, on se pose beaucoup de questions. On est ado et tout à coup on nous demande d’être adulte, d’avoir un métier. Parfois, on ne le vit pas très bien. A 17 ans, on a hâte d’avoir cinq ans de plus mais une fois qu’on les a, ce n’est pas si bien que ça. Ce sont ces désillusions que j’ai ressenties autour de moi et qui m’ont inspiré.


Et cette Nina dont tu parles dans ton album, qui est-elle ?

Tu vas être déçu mais elle n’existe pas ! Nina est un personnage fictif, un condensé de plusieurs personnes que j’ai connues. Et puis, le nom « Nina » sonnait bien, c’était assez musical.


Plutôt rare pour une chanson de parler d’une jeune fille qui boit…

C’est quelque chose qui me touche. On voit cette fille au loin, au fond d’un bar, poser sa tête sur l’épaule de quelqu’un et se mettre en boule sur le canapé. Je trouve ça mignon. Souvent, une fille est apprêtée, digne, fière du haut de ses talons. La voir tout d’un coup dégringoler, ça met tout à plat. Cette fille-là est touchante car elle tombe le masque. Un mec est plus pataud ; le voir boire et parler fort, c’est moins frappant. Quand c’est une fille, t’as envie de la serrer dans tes bras.


C’est le mal-être des autres qui t’inspire ?

Oui. On avait tous des rêves à 17, 18 ans et puis on comprend que ça ne se passe pas tout à fait comme on l’espérait. Il y en a aussi qui y arrivent mais j’en vois d’autres avec les bras qui pendent alors qu’hier ils étaient pleins d’énergie.


Vivre ces désillusions n’est-il pas un passage obligé de la vie ?

Oui, je pense que c’est ainsi. La vie est faite de moments très intenses en bonheur comme en malheur. C’est ce relief qui est intéressant et que j’essaie de retranscrire dans mes chansons. J’aime que les gens s’y retrouvent. Sinon j’aurais l’impression de ne parler que pour moi !


Avais-tu acquis une expérience de la scène avec tes groupes de musique ?

Non, très peu. J’avais fait une petite dizaine de concerts dans des bars ou sur une péniche devant deux personnes (rires). J’ai fait mes premiers concerts cette semaine, en première partie de Michel Jonasz au Casino de Paris. Hier, j’étais au Sentier des Halles et je vais aussi aller à la Rochelle. Je commence à me roder. Je sui en train d’apprendre et j’ai encore beaucoup à découvrir.


Comment appréhendes-tu ces concerts ?

J’y vais tout doucement, étape par étape. Je ne veux pas être noyé par les artifices, avoir beaucoup de musiciens avec moi sur scène. Ca noierait le propos et l’émotion. Je préfère qu’on soit à deux, dans des petits endroits et travailler sur l’essentiel de mes chansons afin que l’émotion principale ressorte. Et bizarrement, je n’ai pas du tout le trac ! Je conçois la scène comme un espace de jeu, une cour de récréation. J’ai envie que ce soit amical, sympathique…


… et bon enfant ?

Oui, on y revient !
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Elodie
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MessageSujet: Re: Presse   Presse Icon_minitimeMar 12 Fév - 13:16

En provenance du site de presto... Smile
Citation :

Avec sa voix un rien cassée, OURS débarque dans le bestiaire de la chanson française avec un premier album Mi. Vous avez du déjà entendre son titre au poil qui s’intitule “Le Cafard Des Fanfares”.
par Pierre DERENSY DÉCEMBRE 2007
http://www.ours-lechanteur.com

Se faire appeler OURS c’est pour stigmatiser votre état moral de tout les jours ?

Ce n’est pas mon état moral, c’est parce que lorsque j’écris des chansons, quand je fais un disque, c’est vrai que je suis dans ma chambre, assez isolé. Et « Mi » est le fruit d’un travail solitaire. Dans la vie, je m’appelle Charles mais quand je fais de la musique, je suis assis sur mon lit en tailleur, un peu comme si j’hibernais. Un jour, j’ai décidé de montrer tout ce travail solitaire aux gens et de le mettre sur un disque comme l’ours sort de sa tanière et part dans la nature.

L’hibernation avant l’arrivée de Mi fut longue ?

Pour que ce premier album sorte de sa cachette, il a mis pas mal de temps. Parce qu’en fait, je ne me suis mis à écrire des chansons que vers 22 ans. Au début je me suis forgé, je me suis cherché pour enfin me trouver, donc j’ai jeté beaucoup de textes à la poubelle. Sérieusement, ça fait 6 ans que je m’y suis mis « officiellement » mais pour ce disque il a fallu 4 ans. 4 ans pour affiner l’affaire.

« Il était Temps », comme vous le chantez ?

Oui il était temps que je trouve ma voie, que j’ai un métier, que mon rythme change au niveau de vie, car j’étais un peu déconstruit à ce niveau là.
Dans l’album, j’ai noté beaucoup de thèmes qui sont des sortes de vengeance, est ce que cet album est une manière de prouver vos qualités ?
Bien évidemment ! Ecrire des textes, les chanter c’est se mettre en avant, prouver quelque chose, peut être que l’on veut séduire aussi.
Vous êtes comme une bouteille d’Orangina : c’est à dire que pour vous apprécier, il faut vous secouer ?
(rire) Exactement ! C’est tout à fait ça.

On vous connaît par « Le Cafard des Fanfares », est ce que ce cafard est perpétuellement en vous ?

Non. Il a juste déclenché mon envie d’écrire des chansons. Je ne veux pas que ce mot « Cafard » soit plombant, c’est pour ça que j’ai fait une musique sautillante pour accompagner le texte. Le cafard n’est pas grave, c’est un petit pincement au coeur, ce n’est pas une déprime. On est dans un état d’âme qui a été constant chez moi surtout à un moment, et qui est passager maintenant. Ce sont des moments où l’on n’est pas dans le coup. On n’a pas envie de faire la fête, c’est le moment où l’on est sur une plage où il fait très beau et pourtant on n’a pas envie de profiter de ce moment.
Dans votre disque on entend beaucoup de rythmes qui viennent des caraïbes, du zouk aussi ?
J’écoute beaucoup de musique brésilienne. Ce qui m’attire dans cette musique, c’est le côté mélancolique et en même temps solaire qui rend joyeux. Ces chansons sous leur forme légère qui évoquent des serrements au coeur.
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MessageSujet: Re: Presse   Presse Icon_minitimeJeu 5 Juin - 18:28

Alors, ça, ça vient de cette page : http://www.aoura.com/ours.htm Smile

Magazine So Foot de Mars 2008


Presse Sofoot-0308

Numéro spécial Les Inrockuptibles

Presse Inrock-chrolyceenne-light

Ours dans "Elle"

http://www.aoura.com/zours/elle-nantes.jpg

Et sur le site "Kostar"

http://www.kostar.fr/une_ville_ailleurs/9_shanghai.html
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MessageSujet: Re: Presse   Presse Icon_minitimeLun 6 Oct - 15:46

Article de Full of sound (http://www.fullofsound.com/) magazine musical numérique. J'ai mis les liens car c'est hébergé en grande taille et ça risque de déformer par ici.

https://i.servimg.com/u/f42/11/12/75/57/ours_f11.jpg

https://i.servimg.com/u/f42/11/12/75/57/ours_f12.jpg
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MessageSujet: Re: Presse   Presse Icon_minitimeJeu 30 Oct - 14:23

Critique canadienne, faite par François Blain pour Radio Canada avant son passage au Québec!

Citation :
Il y a eu H (Arthur) pour le fils de Jacques Higelin, puis
M (Mathieu) pour celui de Louis Chédid. Maintenant, il y a Ours, nom
d'artiste derrière lequel se dissimule Charles Souchon, le fils cadet
d'Alain Souchon. Graphiste qui avait réalisé le site web original de
son père, on ne le savait pas chanteur.

S'il a pris un certain temps à sortir de sa tanière, Ours
le fait avec désinvolture et aplomb sur un disque où l'on sent une
griffe personnelle.

http://www.radio-canada.ca/arts-spectacles/musique/2008/05/23/001-ours-critique.asp
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MessageSujet: Re: Presse   Presse Icon_minitime

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